Angel-White - Juste un sourire ... :)

Retour, au revoir et renouveau.

Sun, 16 Feb 2014 11:56:00 +0100

Bonjour à tous ! (ou à personne !)
Voilà, je suis revenue voir mon petit blog... j'en ai lu pas mal de pages, j'ai eu envie de réécrire mais pas ici.
Cependant un dernier article, un dernier article pour dire au revoir et pour définitivement ajouter une touche finale ici.
Je lui dois bien ça, une clôture en belle et due forme, un au revoir, un merci...infini.

Je vais créer un autre blog, après une très longue absence sur la blogosphère, j'ai envie de m'y remettre, de faire quelque chose en accord avec ce que je suis ... ici et maintenant, toujours sur Cowblog... mais un nouveau "moi". Enfin.

Alors un dernier au revoir. Un dernier remerciement...

Un Dernier Sourire (ici en tout cas ^^) De l'Ange Blanc.

Angel-White.

Se dévoiler...

Wed, 29 Jun 2011 09:34:00 +0200

Je n'ai pas encore parlé de toi dans ce blog. Mais je vais me répéter... je veux plus vivre ma vie au présent que de la vivre par écrit sur ce blog. Maintenant si j'y écris c'est que j'ai besoin de me défouler.
Mais là j'y écris pour plusieurs raisons. Déjà parce que je sais que tu connais maintenant l'existence de ce lieu, ensuite parce que j'ai envie d'écrire tout ce que je peux ressentir depuis que je dis nous, ensuite... parce que j'ai envie de te faire passer un message.
En deux mois et demi que nous sommes ensemble tu es devenue l'une des personnes les plus importantes de ma vie, tu as pris une place considérable dans cet espace de mon coeur si chamboulée et petit à petit tu le guéris. A chaque étape, chaque attention, chaque difficulté qu'on traverse... tu le guéris.
Je n'ai plus peur de dire je t'aime, je n'ai plus peur de trahison ou de mensonge, je n'ai plus peur d'agir comme je l'entends.
Je n'ai plus peur d'être présente pour l'être aimé. Bien sûr il nous reste beaucoup de chose à faire, à construire, mais je suis persuadée qu'on y arrivera.
Tu sais cette deuxième part de toi... je n'ai pas non plus peur de la connaître. Je dirais même que j'ai hâte, d'apprendre qui tu es en entier. On a tous une part de nous-même que l'on n'accepte à moitié, et ça rend les choses encore plus difficile, surtout quand on veut se décider à franchir le pas de la confier à l'autre. Je sais à quel point ça peut être dur... On a nos jardins secrets, nos parts sombres qu'on a peur de dévoiler, où qu'on ne veut tout simplement pas dévoiler. Mais toi tu as fais un premier pas, tu m'as donné les cartes en main. Alors oui je dois attendre ton accord remplir des conditions, mais c'est toi qui a fait le plus dur. Déjà en me faisant confiance, tu sais que je n'ouvrirais jamais ce 7ème cadeau sans ton accord et tu dois savoir que quand je l'ouvrirais... je ne jugerais pas, je ne prendrais pas peur. Parce que j'ai décidé de rester à tes côtés quoi qu'il arrive. Tu l'as bien fait pour moi et je t'aime. Pour moi c'est tout ce qui compte à mes yeux et mine de rien je suis plus forte qu'il n'y paraît.
Et comme j'ai mis deux jours à écrire cet article, il se trouve que j'ai ton accord. Ce soir donc... je vais... entrer en toi et essayer de te comprendre au maximum.

Pour Nounours, de ta Crapule.

-____-"

Mon, 04 Apr 2011 20:51:00 +0200

A chaque instant, dès que je suis dans un lieu où tu es susceptible d'être, je suis aux aguets.

J'observe chaque détail et puis j'aperçois un sac qui ressemble au tien, un blouson, la même allure, alors mon coeur bat en pensant, en espérant de toute force que se soit toi. Et je me retrouve à me dire « mais ma pauvre fille, qu'est-ce que tu attends au juste? Un miracle? » Il sait même pas que j'existe, il ne veut pas le savoir, il n'en a rien à faire, c'est ce qu'on appelle l'indifférence totale. Et puis finalement je t'aperçois, sans m'y attendre, je pensais pas te voir là et tu débarques au coin d'une rue, j'étais loin mais je t'ai vu. Et je n'attendais qu'une chose : que tu me vois aussi. Mais t'étais là avec ta musique dans les oreilles, à aller je ne sais où, ignorant tout autour de toi. Mais qu'est-ce qui me prend de t'attendre à chaque tournant, de te voir partout où tu n'y est pas. J'aimerais simplement que tu sortes de ma tête, puisque de toute façon tu ne voudrais pas volontairement y entrer. Je voudrais juste arrêter d'être une gamine stupide qui croit encore que tu pourrais te révéler être le prince charmant qui va venir me prendre la main pour me dire que c'est moi qu'il veut. Comme c'est désespérant de ne pouvoir s'empêcher d'être guimauve, et de savoir que rien de ce que l'on pense ne peut arriver, rien de ce que l'on pense n'est ce qui se passe vraiment. La vie à ses moments de grâce, ses moments magiques, mais arrête de croire aux contes de fées, ils sont irréels, et surtout la princesse a tout ce qu'elle veut en claquant des doigts, toi pour avoir ce que tu veux faut savoir te débrouiller pour l'avoir, et surtout faire savoir ce que tu veux, parce que ça viendra pas tout seul. Et puis parfois on a beau savoir ce qu'on veut, on a beau essayer de l'avoir ça ne dépend pas que de nous, parce que quand d'autre ne veulent pas, ils sont spécialisés dans comment te mettre des bâtons dans les roues. Et puis quand la volonté n'est pas la même de l'autre côté, tu as rarement envie de le forcer, tu n'y peux juste rien, alors tu attends que ça passe, tu attends en essayant de ne pas espérer. Tu veux juste passer à autre chose. Je veux passer à autre chose.

L'indifférence.

Mon, 14 Mar 2011 11:28:00 +0100

Comment? Comment on a pu en arriver là? Comment TU as pu en arriver là?
Quand je pense à tout ce qu'on s'est dit, ce que tu m'as dit, sans importance réelle, sans engagement ou quoi que se soit.
Mais je te pensais sincère, et je pense que tu l'étais... comment tu as pu m'ignorer comme ça, comment tu peux être aussi indifférent?
J'ai du mal à te comprendre, j'ai du mal à concevoir que tu ne me parles plus, que tu m'évites tout le temps, j'ai du mal à concevoir le fait qu'on ne parle plus de rien, puisque que tu ne me parles plus tout court. On discutait tellement. Je n'étais pas assez accrochée pour devoir couper les ponts, quand je t'ai dit qu'il n'y avait pas de soucis pour qu'on soie ami, je le pensais sincèrement. Je savais que je pouvais le faire, je pensais même que c'était tout naturel, que ça se ferait naturellement.
Mais toi... tu t'éloignes, tu m'évites, tu es indifférent et c'est tout. "On a tellement de points communs"; "je pensais pas que ma liberté l'emporterait cette fois-ci"; "c'était bien parti"... Être amis ne t'empêche pas d'être toi-même cette fois-ci parce que je comprenais parfaitement les raisons de cette rupture. Et aujourd'hui, depuis longtemps, je m'en suis fais une raison, et je ne veux pas de ça. Mais on s'entends bien, j'avais trouvé quelqu'un avec qui j'ai énormément de points communs.. mais apparemment pour toi ça ne compte pas assez dans le poids de l'amitié.
Je ne sais pas ce que tu penses, si tu ne veux plus me parler dis le moi, j'ai horreur des non-dits... si tu ne viens pas me reparler... je vais craquer et te dire réellement ce que je pense j'aimerais déjà pouvoir le faire, mais je n'ai pas envie que tu prennes ça comme si je voulais m'accrocher... et tu ne me croirais pas si je te disais réellement que je ne veux qu'un ami. T'es un crétin... si tu pensais vraiment tout ce qu'on c'est dit... t'es vraiment un crétin, parce que tu vas tout bonnement et simplement me perdre... Mais tu t'en fiches sûrement.

Rêves...

Tue, 15 Feb 2011 23:51:00 +0100

Je ne devrais pas m'inquiéter pour si peu,
Un rêve n'est que le mélange de choses vécues inconsciemment,
Pourtant, ton image était si vivace, si réelle,
Tu te tenais là, debout bien portant,
A mes côtés se trouvait cet autre homme,
J'ai peur que cette phrase "j'aurais tant voulu le rencontrer" ne me hante,
J'aurais tellement voulu que tu rencontres celui qui partagera ma vie,
Je l'ai vu à côté moi sûrement à cause de ça,
Mais mon papi ce ne sera pas lui l'homme qui partagera ma vie,
Puisque lui, on me force à l'oublier, on me force à tourner la page,
Personne ne me dit va a ton rythme, tout le monde me crie "lâche le", tout le monde me crie "oublie le, laisse le partir, il reviendra... comme ami".

Tu me manques chaque jour, chaque jour j'ai une pensé pour toi,
Plus qu'une pensé, j'aimerais tellement encore que tu sois là,
J'aimerais que tu puisses voir comment j'évolue,
Je pleure encore à ton souvenir, je sais que tu ne le voudrais pas,
Mais mes larmes coulent, elle coulent tellement facilement,
Tu me manques tellement, tellement,
Je ne sais pourquoi tu me manques autant, je ne sais pourquoi je pleure sans cesse alors,
Que tant de magnifiques souvenirs me viennent à l'esprit.

Je t'aime tant. Je t'aime tellement.

Qui suis-je pour toi...?

Sat, 29 Jan 2011 12:53:00 +0100

Que deviendrais-je pour toi? Qu'étais-je pour toi?
Sans savoir ce que j'étais, je ne peux deviner ce que je serais.
Sans savoir où je me plaçais, je ne peux trouver une place auprès de toi.
Je suis dans cet espace bizarre, entre toi et entre nous.
Je ne peux pas être comme elle, est-ce donc que je compte moins?
Je ne peux plus être comme moi, est-ce donc que je ne compte plus? Que je n'ai jamais vraiment compté?
Je ne suis même pas à mi-chemin de quelque chose.
Je suis comme en lévitation dans un vide sans lumière pour me guider.
Tu étais la lumière qui me guidait, le vide ne m'effrayait pas.
Mais tu m'y a laissée, parce que tu ne voulais pas t'enchaîner.
Alors je ne sais pas où je me situe, je suis dans le vide, et tu ne m'aides pas à savoir ce qu'il en est.
Un jour tu es celui que j'ai toujours apprécié. Un autre tu es une personne comme une autre avec qui il serait bizarre de discuter.

Angel-white.

Affligée...

Wed, 05 Jan 2011 20:19:00 +0100

Déjà quand on a une forte envie d'avoir quelque chose c'est dur, quand on l'a, on se rend compte au début de la chance qu'on a, ensuite la quotidien atténue un peu tout ça, mais on y pense quand même. Mais alors quand cette chose que vous avez voulu, que vous avez eu, se détache de vous... qu'elle s'éloigne, tout en restant disponible, sans vous "appartenir" et que vous savez pertinemment que vous ne pourrez plus l'avoir.... Vous passez alors d'abord par une phase "d'indifférence" = je peux m'en passer. Puis par la suite petit coup de blues = "ça va me manquer un peu quand même". Et encore après de profonde tristesse = "pourquoi je ne peux plus?", tristesse qui se mêle à la jalousie quand on pense à l'éventualité que ce quelque chose appartienne à quelqu'un d'autre... Je sais pas si vous arrivez à tout suivre. Mais bref... je ne suis pas encore dans la période acceptation et encore moins résignation.
Quelque chose... c'est un peu vache, on dirait un objet. Alors que je parle d'un être humain... je ne dirais pas tout ce qu'il y a de plus normal mais bref...
C'est la mauvaise période...

(Je n'écris plus qu'en une seule couleur, ça me plaît ^^)
Angel-white (faut vraiment que je change!!! ><)

Rechute?

Sun, 02 Jan 2011 01:03:00 +0100

Il faudrait que je change encore une fois ce blog, que je réactualise les catégories (c'est fou ce qu'on change...), que j'y remette un peu de vie finalement.
A cette heure... je me sens étrange. J'ai envie de parler. Et comme je suis seule, je retrouve mon ancien ami, qui finalement reste toujours fidèle à son poste. Une rechute? Comme lorsque l'on arrête de fumer, et qu'on se tire une petite latte de temps en temps.
Ca me fait bizarre de revenir ici, je n'ai plus l'impression d'y être chez moi, sûrement trop de changement pendant tant d'années...
J'écris dans le vide, à quoi ça sert finalement? De parler dans le vide? Ca ne me soulage plus, ça m'énerve encore plus de savoir que l'intéressé ne saura pas justement dans quel état je me trouve, dans un sens je ne le souhaite pas... Je n'aime pas dévoiler ce côté étrange, torturée... à toujours se poser des questions s'interroger...
Je me prend la tête, je suis du genre à tout dramatiser comme pour rendre la chose plus intéressante. Sûrement parce que je ne sais pas me contenter de ce j'ai, j'en veux toujours plus, ou je veux toujours autre chose. J'aime le changement, je veux des émotions fortes, quitte à ce que se soit la douleur.
Masochiste? Complètement dérangée...? Les études de psycho vont pas m'aider je sens.
J'ai un besoin urgent d'avoir des certitudes à la place de ces questions qui se baladent sans cesse dans ma tête.
Bon... suffit pour ce soir.
Mais je sens que je vais vite revenir.

Angel-white... (ce surnom aussi c'est n'importe quoi...)

Pour Légion...

Sun, 12 Dec 2010 15:11:00 +0100

Pour toi je reprends... le clavier ^^.
Plus de news, effectivement, mais j'avais prévenu ^^. Ma vie est un chantier sans fin :) Tout recommence à se reconstruire, Noël approche, et j'ai l'impression qu'on m'a apporté de bien beaux cadeaux :)
L'amour est revenu au beau fixe, l'ancien a enfin lâché prise. Un être qui m'était tout particulièrement cher n'est plus de ce monde, d'autres en revanche sont apparus.
Nos vies sont des boucles sans fin, de pertes, de découvertes ou encore de retrouvailles.
La vie vaut sûrement le coup pour ce genre de rebondissement. Parce qu'on a beau être au fond du trou, on se relève toujours, quoi qu'il arrive :)
Alors je garde le sourire, j'avance à la recherche de mon bonheur, et je trouve des réponses à chaque fois de nouvelles, sur ce bonheur et sur moi-même.
Voilà quelques nouvelles. :) En espérant un jour pouvoir te lire également... Légion.
'Zou.
Angel-white.

Long time...

Mon, 27 Sep 2010 22:43:00 +0200

Oulalalalala... Je l'avais oublié moi ce blog. Enfin oublié est un bien grand mot, disons que je l'avais laissé dans un petit coin de ma tête.
Je crois que je n'en ai plus besoin, en fait j'ai de moins en moins envie d'écrire... Ca me manque, mais ce n'est plus un besoin.
L'homme que j'aimais est revenu me chercher en quelque sorte, ma vie s'enchaîne, les responsabilités se bousculent, ma vie commence à prendre du sens, et je crois que j'ai arrêté la quête de me chercher, de me prendre la tête, de toujours me poser des questions...
Alors je pense que ce blog ne servira plus qu'à mettre des infos, des paroles que j'aime, etc....

Désolée, peut être que je reviendrais, mais pour l'instant je vie ma vie, et je crois que je ne manquerais à personne ici.
Bien à vous.
Angel-white.